Dans le contexte de crise que nous vivons, nous cherchons tous à trouver tous les moyens possibles pour rester en contact avec nos clients. Dans les métiers de la prestation de service ou dans le sport cet enjeux est majeur. Laisser une trace physique pour que l’on se souvienne de nous dans le futur. Une étude menée par TSM Research pour la 2FPCO met en évidence le potentiel de l’objet publicitaire dans sa stratégie de communication.
L’objet publicitaire, le numéro 1 de la notoriété
L’objet publicitaire à un fort pouvoir de mémorisation d’une marque. 78% des Français disent qu’un objet publicitaire leur permet de mémoriser plus facilement une marque. Ce pouvoir de mémorisation est renforcé si ils ont une perception élevée de la qualité et du prix.
L’autre point qui renforce la notoriété c’est que 79% des Français conservent le cadeau que nous leurs remettons, dont 20% plus de 3 ans. Si en plus il est utile à votre client, vous pouvez être certain que vous serez gagnant. Il vous permettra de renforcer les liens que vous entretenez avec vos clients et vos partenaires sur le long terme. D’où l’intérêt de faire les bons choix et pour cela de se faire conseiller.
L’objet publicitaire, créateur de liens
Selon ses caractéristiques, sa nature, le cadeau renseigne votre client sur la qualité de votre relation. La façon dont vous lui remettez renforce également cette notion.
Je me souviens dans mon passé professionnel, nous remettions à nos principaux clients des agendas chaque année. Le rituel de l’agenda était un véritable acte commercial. Surtout pas d’envoi postal. Une prise de rendez-vous avec remise en mains propres était un impératif. Nous le sortions de son écrin et le présentions comme un objet réservé à un cercle de privilégiés. Ce point d’étape annuel constituait une véritable occasion de renforcer durablement les liens avec nos clients sur le long terme.
Donner, ce n’est pas d’abord donner quelque chose, c’est SE donner dans ce que l’on donne […] Le don cérémoniel est une procédure de reconnaissance publique entre partenaires
J. Godbout (2000)